The Franchise
L'équipe d'un film de franchise mal-aimé se bat pour sa place dans un univers cinématographique sauvage et indiscipliné. La série met en lumière le chaos secret qui règne dans le monde des films de super-héros et pose la question suivante : comment la saucisse cinématographique est-elle fabriquée ? Parce que ...
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| En cours | GB, US | Pas de durée |
| Comédie | HBO | 2024 |
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1.01 -
Scène 31A : Rencontre tecto-l'oeil
Scene 31A: Tecto Meets Eye
Dan, le premier assistant, fait de son mieux pour sauver le tournage du dernier film de super-héros du studio Maximum, "Tecto: L'Œil de la tempête".
Diffusion originale : 06 octobre 2024
Diffusion française :
06 octobre 2024
Réalisat.eur.rice.s :
Sam Mendes
Scénariste.s :
Jon Brown
Guest.s :
Justin Edwards
,
Urs Rechn
,
Ruaridh Mollica
,
Alex Gaumond
,
Daniel Hoffmann-Gill
,
John Cummins
,
Uri Roodner
,
Gemma Acosta
,
Alex Magliaro
,
Geoffrey Newland
,
Will Rowlands
nicknackpadiwak
Une nouvelle fiction sur un tournage qui dérape : déjà un remake de Fiasco, la série avec Niney ? Non, pas vraiment.
Cela dit, j'ai l'air de me moquer, mais j'aime bien ce genre de films/séries et c'est toujours fascinant de voir l'autre côté du décor, surtout quand celui-ci s’effondre. Ici, le plateau est celui d'un énième film de super-héros d'une franchise qui s'auto capitalise jusqu'à saturation. On l'a compris, c'est Marvel & DC Comics qui sont clairement pris pour cible. Les tacler n'est pas neuf, mais cela fait du bien, surtout que le genre "films de super-héros" agonise depuis plusieurs années et on n'arrive plus à compter le nombre de daubes qui sortent au cinéma. Donc montrer le chaos sur le plateau, notamment à cause des producteurs qui empêchent toute cohérence de l'univers ou vision à moyen/long terme (exemple ici avec les Hommes-Poissons) et ne sont intéressé que par l'idée de faire du fric, en aseptisant au maximum les velléités artistiques du réalisateur par exemple, n'a rien d'un scoop, mais cela peut donner un jeu de massacre plaisant à regarder.
Pour ce pilote, c'est Sam Mendes qui est à la réalisation et cela se devine dès l'étourdissant plan séquence de l'introduction, tour de force technique qui sert aussi à montrer l'énormité des moyens mis en place pour ce genre de méga-production. Une fois l'introduction passée, on a le droit à un bon pilote qui présente les personnages de manière un peu succincte (en même temps, ils sont tellement nombreux) et pose les situations qui vont monter en tension. C'est propre, rythmé et amusant à suivre.
Enfin, je suis content de retrouver Jessica Stevenson de Spaced notamment, même si son personnage d'assistante un peu bébéte n'est clairement pas le plus original, ni drôle de ce premier épisode.